Le Petit Polémiste

Ilan Duran Cohen serait-il le Philip Roth français ? Avec Le Petit Polémiste, Ilan Duran Cohen a sans doute voulu pondre un délire de science-fiction sur 2030. Raté : c’est un grand roman naturaliste sur la France de 2020.

À la fois farce tragicomique et plaidoyer pour la désobéissance civile, Le Petit Polémiste est un roman qui tape juste.

Saluons donc le culot d’Ilan Duran Cohen qui, lui, n’y va pas avec le dos de la cuiller. Il imagine dans Le Petit Polémiste la France du début des années 2030, et ça décoiffe. Caustique, grinçant.

Chronique lucide, décapante mais toujours nuancée, de la dérive des idéaux humanistes.

Liberté ne veut pas dire futilité. Le Petit Polémiste est léger, mais il sait gratter là où ça fait mal.

(…) hilarante dystopie (…).

(…) dans ce monde gangrené par la bienpensance totalitaire, les rêveurs et les indociles ne courberont jamais l’échine.

C’est une salutaire bouffée d’air vif : Le Petit Polémiste d’Ilan Duran Cohen étrille les excès de la bien-pensance. 

Le Petit Polémiste affronte avec force la question du lynchage digital. 

Un grand roman naturaliste sur la France de 2020. 

Une dystopie aussi drôle qu’effrayante. 

Le Petit Polémiste : le roman qui fait réfléchir au sens du mot « liberté » aujourd'hui et demain. 

La force du Petit Polémiste est de tenir la distance tout au long de ses 300 pages et, une fois le livre fermé, de continuer à nous inviter à la réflexion. 

Avec un humour mordant et une plume efficace, le réalisateur et romancier (..) passe au vitriol les travers de notre société dans cette dystopie aussi délurée qu’alarmante. 

Ilan Cohen signe une fable drôlement corrosive, un brûlot satirique qui pousse le curseur du politiquement correct jusqu’à l’absurde pour dépeindre le meilleur des mondes qui semble nous guetter.

D’une troublante profondeur.

Le petit polémiste est un roman savoureux où l’arrière-goût amer prend rapidement le dessus pour ne plus quitter le lecteur dans son exploration d’un avenir où tout lui rappelle le présent.

(…) livre caustique, incisif et brillant mais jamais cynique (…). Un auteur qui retrouve ici toute la verve délicieusement impertinente de sa plume pour le plus grand bonheur du lecteur. Savoureux.

Avec une ironie féroce, l’écrivain (L’Homme à débattre) dissèque les travers de notre société hygiéniste dans une dystopie aussi effrayante que délurée.