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Les Carnets du coursier

Sous-titre
Journal 1990 - 1999

Wend KÄSSENSPostfacier

Consacré à la décennie 1990-1999, le quatrième tome du journal de Paul Nizon témoigne de la profusion de ses sources et révèle la diversité de ses inspirations. S’il a atteint l’âge de la maturité et de la consécration, il n’en reste pas moins un créateur en perpétuel devenir, toujours à la recherche de la forme d’expression la plus juste.

Dans ce volume, il revient aussi sur le rôle fondamental des journaux dans le processus créatif, les définissant comme l’“Autre face” de ses livres. Paul Nizon nous donne ici à voir un “déballage impitoyable”, un portrait de l’artiste au travail, en plein chantier

mars, 2011
11.50 x 21.70 cm
256 pages

Diane MEUR

ISBN : 978-2-7427-9646-5
Prix indicatif : 23.40€



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Paul Nizon est l’un des plus grands écrivains mondiaux. (…) Il devrait avoir reçu le prix Nobel de littérature depuis longtemps. Chacun de ses livres est une démonstration d'intelligence, de douceur, de profondeur.

Frédéric Beigbeder, Le Figaro Magazine

Nizon se révèle attentif à l'altérité, faisant de son corps un allié, se comportant en militant de sa vie, assoiffé de liberté, y compris dans l'écriture. (…) Ses livres sont peu narratifs, toute action y est abolie. Il a fait le choix impérieux de la recréation de soi par l'écriture. (…) Pour autant il ne succombe pas à la facilité du dénuement intégral ou du croustilleux.

Thierry Clermont, Le Figaro littéraire

Dans son journal des années 1990, Nizon raconte magnifiquement sa quête de matériaux pour trois de ses livres. (…) Il est l’un des grands écrivains mondiaux contemporains.

Michel Contat, Le Monde des livres

Nizon, c’est la vie. Elle ne peut venir que par l’écriture, qui elle-même ne peut venir que de la vie.

André Rollin, Le Canard Enchaîné

L’écriture de Nizon frappe par son acuité et sa sobre élégance, et confère à ses objets une réalité intense. (…) Une écriture qui subjugue et les reflets multiples d’une vie et d’une époque fascinantes. Les peines et les plaisirs du jour et les bonheurs de l’existence.

Wilfried Schiltknecht, Le Temps

Dans un “déballage impitoyable”, les Carnets du coursier font apparaître le portrait de l'artiste : Paul Nizon y ouvre le chantier de l'autofiction, une réécriture de la vie.

Au creux de ses Journaux, le magnifique coursier nous arrache à la gravité de la vie, lui redonne une belle légèreté.

Veneranda Paladino, Dernières Nouvelles d’Alsace

Paul Nizon nous livre un autoportrait d'écrivain sans cesse au travail. Un chantier sur lequel il nous autorise à entrer, pour observer un solitaire-né à l'écoute du monde.

Jacques Sterchi, La Liberté