Jeune diplômé de Sciences Po Toulouse, Maxime Ollivier a participé à la création de la Bascule, un mouvement citoyen qui œuvre à la diffusion de nouveaux récits afin de faire émerger un modèle de société basé sur le respect de la nature et de l’humain, grâce à l’intelligence collective, à la coopération
et aux expériences existantes dans leur diversité.
Il est activiste pour la justice sociale et climatique. Marches pour le climat, lobbying citoyen avec La Bascule, désobéissance civile avec Extinction Rébellion, campagne électorale avec La Primaire Populaire : il a essayé plusieurs modes d’action avant de se tourner vers l’art comme outil de mobilisation avec le collectif Le Bruit qui court.