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Diavolina


Entrée comme bonne dans la maison du grand écrivain russe Maxime Gorki, celle qu’il surnomma Diavolina (diablesse) devint avec le temps son infirmière, sa confidente, son rempart contre le monde.

À l’automne de sa vie, elle se souvient. Avec ironie, humour et perspicacité, elle fait le portrait de son maître, mais aussi de son entourage : H. G. Wells, Romain Rolland, Moura Budberg, Nina Berberova, Stanislavski, Lénine, Staline, Molotov… et se délecte de leurs faiblesses et hypocrisies. Ici, c’est une femme du peuple qui observe sans concession ceux qui prétendent le diriger en son nom…

Le romancier et homme de théâtre hongrois György Spiró parvient à rendre palpables toutes les facettes et contradictions de la vie de Maxime Gorki – loin des stéréotypes et des livres d’histoire – grâce à cet impertinent récit de celle qui accompagna sa vie sans jamais devenir sa femme.

février, 2019
11.50 x 21.70 cm
240 pages

Charles ZAREMBA
Natalia ZAREMBA-HUZSVAI

ISBN : 978-2-330-11834-1
Prix indicatif : 21.50€



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Le romancier et dramaturge hongrois Gyôrgy Spirô a enfilé la blouse de l'infirmière d'Alexei Maximovitch Pechkov dit Maxime Gorki (1868-1936) afin de nous livrer une fiction pleine d'esprit et de cocasserie, Diavolina.

A travers ses yeux énamourés et par ses mots acides (son franc-parler prolétarien), Diavolina est une satanée narratrice.

Sean James Rose, Livres Hebdo

L’écrivain hongrois Gyôrgy Spirô, (…), s’est amusé à se mettre dans la peau de la Diavolina, pour écrire une narration sans fard, à la fois clinique et gouailleuse, tendre et glaçante, toujours retenue; comme des souvenirs égrenés sur un ton jamais dupe et pourtant un rien désabusé.

Distancié mais embarqué, ce témoignage fabriqué de toutes pièces se reçoit telle la plus authentique des pièces à conviction contre un système établi au nom de pseudo-convictions prétendument socialistes.

Antoine Perraud, La Croix

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