Aller au contenu principal

Puissions-nous être pardonnés


Historien spécialiste de Nixon, Harold Silver a passé sa vie à observer son arrogant et belliqueux cadet George, magnat de l’industrie tv, se bâtir une vie cossue dans la banlieue de New York et n’est que trop au fait du tempérament explosif de son frère. Le jour où George perd totalement le contrôle, la sauvagerie de son geste est telle que tous deux se voient projetés dans des vies radicalement nouvelles.

Du jour au lendemain, Harry se retrouve en charge d’une nièce et d’un neveu, auxquels viendront bientôt se greffer un orphelin pour le moins excentrique et un couple de retraités farfelus. Tandis qu’il s’emploie à fonder cette famille d’un genre nouveau, Harry, héros malgré lui, navigue dans la tempête avec une intelligence des autres salutaire et, ce faisant, trouve le chemin de lui-même.

C’est avec un humour décapant capable d’électriser les moments les plus sombres d’une tragédie familiale qu’A. M. Homes, «storyteller» et dialoguiste d’exception, confronte ici des personnages profondément meurtris à l’impérieuse nécessité de survivre aux épreuves que leur réserve l’existence pour se reconstruire durablement.

mai, 2015
14.50 x 24.00 cm
592 pages

Yoann GENTRIC

ISBN : 978-2-330-05090-0
Prix indicatif : 24.00€



Où trouver ce livre ?
Ce livre existe également en version numérique

Plus profond qu’il n’y paraît, ce drôle de drame à la Woody Allen voit naître une famille certes hétéroclite et recomposée mais où règnent une empathie et une humanité nouvelles pour chacun des protagonistes.

NVO

Exubérant, ce livre enchaîne les péripéties pied au plancher.

On n’arrive pas à décrocher, entraîné par le style minimaliste, décapant et mordant de cet auteur qui manie l’ironie, la dérision avec une aisance déconcertante.

Ce roman réjouissant est une exploration à la fois implacable et tendre des frustrations et des névroses d’une Amérique sous assistance médicamenteuse et technologique.

Emmanuel Romer, La Croix

A.M. Homes a une capacité peu commune et d’une rare finesse à passer du drame à la comédie.

Téléstar Jeux

Puissions-nous être pardonnés est une fresque au souffle puissant, un roman sur la vanité, la chute et la rédemption. Et malgré la gravité et la noirceur du propos, Puissions-nous être pardonnés est aussi un livre très drôle, une comédie avec des scènes d’une cocasserie et d’un burlesque invraisemblables.

A.M. Homes s’inscrit à n’en pas douter dans la meilleure tradition de la littérature américaine.

Librairie Point Virgule

Un livre incroyablement optimiste.

A.M. Homes a le talent rare de savoir écrire des livres très différentes les uns des autres.

Captivant, comme un livre d’aventures, drôle et finalement plein de sagesse. Comme si, dans tout événement, même le plus atroce, on pouvait trouver de quoi rire et de quoi s’émerveiller, quelque chose à construire et quelque chose à apprendre.

Natalie Levisalles, Libération

C’est une sorte d'Odyssée des temps modernes à laquelle nous convie l’auteure, d’une inventivité et d’une malice stupéfiantes.

La romancière maîtrise les codes de la narration et se révèle une dialoguiste hors-pair, déclenchant chez le lecteur de fréquents fous rires.

Elle entretient un savant suspense, parvient à faire rebondir l’intrigue à tout moment et à rendre attachant chacun de ses personnages, même les plus improbables. Ce ne sont pas les moindres qualités de cette infernale spirale romanesque dans laquelle on adore être emporté.

Bertrand Morizur, Librairie L’arbre du voyageur, Page des libraires

C’est avec pas mal d’humour, de cocasserie et finalement d’optimisme que A.M. Homes raconte l’année qui va changer le regard qu’Harold Silver pose sur le monde.

Marie-Françoise Gihousse, Vers l’Avenir

Savoureux roman.

La famille est le grand sujet d’A.M. Homes ; Puissions-nous être pardonnés est une nouvelle variation, inattendue, rocambolesque, fourmillant de détails, sur ce thème infini.

A la fois caustique et tendre, Amy Homes confirme qu’elle est bien l’un des grands talents de sa génération.

Nathalie Crom, Télérama

A.M. Homes revient avec jubilation et profondeur sur ce thème de la famille et on la suit avec tout autant de bonheur dans cette Amérique qu’elle égratigne au passage. Un coup de cœur!

Blog de Cathulu

Le roman comme une partie de billard ? Puissions-nous être pardonnés fourmille de rebondissements aussi savoureux qu’inattendus, comme si A.M. Homes prenait plaisir à dégommer les situations établies pour forcer les personnages à révéler leur vraie nature.

C’est aussi un tableau saisissant des faubourgs de New York, avec quelques guest stars inattendues.

 

Didier Jacob, L’Obs

Le Bûcher des vanités, version farce grotesque.

Une écriture assez incroyable, elle n’a aucun tabou. (…) Elle ne tombe jamais dans la vulgarité.

Philippe Chevilley, France culture, la Dispute

Une mise en pièces des Etats-Unis au moins aussi radicale que Le Bûcher des vanités de Tom Wolfe.

Puissions-nous être pardonnés a des côtés rabelaisiens — roman d’une femme libre qui n’a aucun tabou, du moment que triomphe l’humain.

Philippe Chevilley, Les Echos

Un roman terriblement drôle et plein d’énergie sur comment vivre tous ensemble.

Biba

Entrer dans Puissions-nous être pardonnés d’A.M. Homes, c’est accepter de se laisser emporter dans le tourbillon d’une histoire virevoltante qui séduit par son rythme soutenu et son humour rafraîchissant.

D’une plume alerte et incisive qui a l’audace de pimenter d’humour les situations les plus délicates et de multiplier les péripéties cocasses sans jamais lasser, A.M. Homes retrace une année de la vie d’un homme en totale mue.

Geneviève Simon, La Libre Belgique

Cette fantaisie picaresque enchaîne le burlesque au sordide sur un train d’enfer.

Stendhal disait du roman qu’il était un miroir posé au bord du chemin. Chez Homes, c’est une loupe. S’y voir au travers fait rire, fait mal. Mais fait avancer.

Elisabeth Barillé, Figaro magazine

A.M. Homes avait déjà fait preuve d’une belle fantaisie dans Ce livre va vous sauver la vie. Il n’est rien de dire que Puissions-nous être pardonnés est plus exubérant encore. »

Le lecteur doit attacher sa ceinture avant de suivre Harry sans ses péripéties sans cesse plus farfelues.

L’Américaine mène son affaire à cent à l’heure, pied au plancher, distillant page après page une ironie et un mordant qui emportent l’adhésion.

Une satire épatante de notre époque avec sa vitesse et ses folies.

Alexandre Fillon, JDD

Le lecteur a tout intérêt à accrocher sa ceinture et à se préparer aux secousses. Rien ici ne va se dérouler normalement.

L'auteure de Ce livre va vous sauver la vie (Actes Sud 2008, repris chez Babel) joue à une touche de balle. On se demande comment elle va pouvoir tenir le rythme tant elle fait mener à son héros un quotidien toujours un peu plus fou. La romancière ne manque ni de punch ni d'ironie. Son opéra détonnant est à ne pas manquer.

Livre Hebdo