Sens et sensations n’affleurent pas en retrait des apparences. Aussi, l’étude des images et de l’art ne saurait s’entreprendre sans considérer d’abord le visible. Observer, donc, ce qui travaille en surface. Puis comprendre, ensuite, par l’approche historique, anthropologique ou poétique, ce qui est ainsi mis en partage. « Croire à la forme,… à tout l’Olympe de l’apparence ! » (Nietzsche), voici l’appel auquel nous voulons répondre, pour être enfin « superficiels… par profondeur ».